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jeudi 28 mars 2013

Les petits fours du Parc des Princes - (saison 2012-2013)

Fin de ma folle soirée au Parc des Princes pour cette PSG Poker Live. 

Les petits fours du salon VIP du stade du Parc des Princes sont absolument délectables. Je m'en suis goinfré, en faisant par la même occasion connaissance en chair et en os avec "Nightwatcher", mon unique ami de Poker online à ce jour. Je suis d'ailleurs ravi, l'échange a été très sympathique. 

Après une rapide séance de dédicaces et de prise de photos avec les quelques joueurs du PSG présents, le tournoi débute à 20h00.

Parmi les participants figurent 40 qualifiés PMU online et deux guest stars : les journalistes Christophe Josse de BeIn Sport et Christophe Paillet de RMC. Les joueurs du PSG présents (Sylvain Armand, Kevin Gameiro, Clément Chatôme) ont quant à eux pris la poudre d'escampette assez rapidement au moment du commencement du tournoi, ce qui fait qu'au lieu d'être 48, nous ne fumes que 42 belligérants.


Après avoir bataillé 4 heures durant avec les autres joueurs mais aussi et surtout avec mes lentilles de contact qui m'ont joué un bien vilain tour en me privant d'une vision optimale pendant les trois quarts de la soirée, je parviens toutefois à me hisser en table finale, tandis que mon ami "Nightwatcher" sort en 11e position. Je dispose à ce moment là d'un total de jetons assez maigre, mais néanmoins suffisant pour me permettre d'attendre quelques coups avant de devoir risquer la totalité de mes jetons.
La table finale de la PSG Poker Live du 27 mars 2013 dans le salon VIP du Parc des Princes. Fredyl est dans la place !!
Mais très rapidement, je remporte deux petits pots qui me font revenir vers le haut du classement. Les blindes et les ante sont tellement élevés que le classement évolue vite. C'est d'ailleurs moi qui élimine le premier des neuf finalistes. Puis deux autres joueurs sont à leur tour éjectés de la table finale dans la foulée.

Je suis malheureusement le prochain sur la liste... Je suis sorti du tournoi par Christophe Paillet, le journaliste de RMC (tout à droite sur la photo). Il balance son tapis alors qu'il est au bouton et que je suis en grosse blind. Je sais que Christophe a déjà envoyé son tapis à plusieurs reprises avec des mains relativement moyennes précédemment dans la soirée car il a longtemps été mon voisin de table et nous avons pas mal sympathisé. J'ai donc pu observer avec une extrême précision son style de jeu. Son total de jetons est légèrement supérieur au mien puisqu'il est à ce moment là deuxième du classement, tandis que je suis troisième. J'ai un as de pique et un 10 de trèfle en main. Je décide de le payer presque sans hésitation, d'autant que le quart de mes jetons est déjà engagé sur la table du fait que je sois de grosse blinde. Nous voilà partis pour un pot énorme. Et là, il dévoile sa paire de dames... La croupière révèle le flop, la turn et enfin la river avec des cartes anecdotiques, et aucun as ne vient à ma rescousse. Je me fais donc sortir à la 5e place. Sans regret ni remords.

En récompense de cette 5e place, je reçois une très belle (et très lourde) malette de jetons PMU, ainsi qu'un ticket d'entrée pour un gros tournoi PMU online. Le vainqueur du tournoi est Vivien, le jeune homme en gris qui figure à gauche de la photo. Il repart avec un package pour le WPT d'Annecy ainsi qu'avec d'autres cadeaux plus modestes. Christophe Paillet, mon bourreau, termine à la seconde place.

Mon T-Shirt estampillé "FREDYL" (qui est aussi mon pseudo sur le site PMU Poker) a fait fureur lors de cette soirée ! Un franc succès. Je suis à présent clairement identifié par certains habitués du site ainsi que par une partie de l'équipe marketing du PMU.

Je considère avoir joué à environ 90 % de mon potentiel réel lors de cette soirée. Les 10% de perte proviennent de mes problèmes de lentilles de contact et de mon inexpérience complète à une vraie table de poker jusqu'à ce jour. Le bilan est donc plutôt correct, mais pour un gagneur absolu tel que moi, cette 5e place ne saurait en aucun cas étancher ma soif inextinguible de victoire... La prochaine fois, je dois pouvoir être en mesure de faire mieux.


mercredi 27 mars 2013

Ni mauvais ni poissard : juste impatient !

C'est fou comme les choses peuvent aller vite, au poker... Frustration et excitation se relaient en un temps record. Car c'est aussi l'une des composantes essentielles du poker : il permet en un laps de temps très bref de passer d'un sentiment extrême à un autre.

Fredyl à la PSG Poker Live du 27 mars 2013
Hier encore, je me disais que la chance refusait de me sourire et aujourd'hui la voilà qui vient toquer à ma porte sans crier gare ! J'ai gagné un petit tournoi. Et voilà que je viens de décrocher mon ticket pour le PSG Poker live dans des conditions rocambolesques. Ce tournoi aura lieu ce mercredi 27 mars dans l'enceinte du Parc des Princes.

Ce sera la première fois que je jouerai vraiment au poker. Avec de vrais gens, de vrais jetons, de vrais croupiers, et en prime... certains joueurs du club de football du Paris St Germain seront là pour participer.

Ce sera mon baptême du feu en matière de poker live. Espérons que le supporter qui est en moi ne viendra pas titiller mon insconscient et parasiter tout mon jeu. Avant que d'être un supporter, je suis un joueur dans l'âme. Ce sera l'occasion de m'en assurer. L'occasion aussi de tenter de transposer mon savoir théorique sur le plan pratique. Je me sens un peu comme un major de promotion fraîchement émoulu de son académie militaire qui se retrouverait propulsé sur le terrain pour la première fois avec tout à tas de responsabilités à gérer et d'ennemis à vaincre. Je vais étrenner mes beaux galons et essayer de remporter la bataille. Qui vivra verra. Quoi qu'il arrive, je pense que ce sera pour moi une expérience mémorable.

En tous cas, je prends mon appareil photo avec moi afin d'immortaliser l'événement, et j'espère y faire de belles rencontres avec des joueurs du PSG ainsi qu'avec d'autres passionnés de poker. Et notamment mon ami "Nightwatcher" que je n'ai encore jamais vu, mais avec qui j'ai pourtant toujours plaisir à échanger quelques bons mots sur les tables de poker du PMU lorsque je le croise...




mardi 26 mars 2013

Suis-je mauvais, impatient ou poissard ?

Le poker est une maîtresse capricieuse et volage, capable de se refuser longtemps au prince charmant, tout comme elle est capable de succomber l'espace d'un soir au soudard sans classe. Pour avoir la chance de goûter à cette incomparable ivresse des sens que procure le poker, il faut savoir tenter sa chance à de multiples reprises (et ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier).

Outre mon compte PMU ouvert fin 2012, j'ai ouvert en ce mois de mars 2013 un compte chez Winamax, un compte chez Bwin, ainsi qu'un compte chez PokerStars. Il faut dire qu'en écumant un peu ces diverses plateformes et en se procurant les mots de passe adéquats, il y a possibilité de récolter des lots intéressants sans avoir à trop risquer ses sous, s'agissant de tournois bien souvent sponsorisés.

Mais jusqu'ici pas grand chose à se mettre sous la dent. Les portes du succès demeurent provisoirement closes. Ce n'est pourtant pas faute d'être passé a quelques reprises à deux doigts d'un prix sympa. Car le poker est fait de frustrations nombreuses. Cela fait un petit bout de temps que je tente ma chance à des tournois sponsorisés. Les récompenses potentielles sont très variées : événement de poker en live, places en loge pour les matches du Paris St Germain, places pour des grands prix de sports mécaniques, ou même pour participer à une émission de télévision !! Et jusqu'ici, aucun succès retentissant à mon actif. J'ose espérer que cela ne durera pas éternellement.

Fonds d'écran Sports - Loisirs Football Le Parc des PrincesCe soir, j'ai connu un énième échec à la PSG poker Ligue (voir mon article du 5 mars à propos de ce tournoi). Je ne suis pas passé loin, pourtant. J'ai fini 6eme de ce tournoi. Il y avait 288 concurrents sur la ligne de départ. Mon élimination est survenue à la suite d'un coup gigantesque, alors pourtant que mes chances de succès étaient bonnes. Mais c'est le poker, et la part d'aléas demeure importante. Le premier prix était un cadeau princier : deux places VIP pour le match de football PSG-Barcelone, qui sera à n'en pas douter le match le plus important de l'histoire du PSG depuis le début de ce siècle.

Je pourrais dire que je suis déçu, mais il n'en est rien. Car l'important est d'être en mesure de se remettre instantanément d'un échec. Ressasser ses échecs d'hier, c'est préparer ses échecs de demain. Comme les toxines chez un sportifs, il est important de savoir se débarrasser de toute amertume après un tournoi de poker perdu. Peu importent les circonstances de l'échec : il faut savoir faire le vide dans sa tête pour mieux rebondir la prochaine fois.

Haïr une main que l'on considère comme "maudite". Haïr un adversaire qui nous élimine d'un tournoi injustement en jouant mal. Haïr un croupier qui nous donne des mauvaises cartes. Voilà des comportements à ne jamais adopter afin de ne pas troubler son jeu futur. Ecrire ces quelques mots sur ce blog constitue en quelque sorte mon décrassage, il contribue à mon équilibre, en m'ôtant tout type de frustration. Après la compétition, quelques tours de terrain en trottinant et les toxines s'en vont naturellement sans laisser de trop vilaines courbatures. Demain est un autre jour. Et je serai prêt à vivre cette journée dans les meilleures conditions psychologiques qui soient.

lundi 18 mars 2013

franchir le pas

Le Poker est devenu un phénomène de société au cours de la première décennie des années 2000. Des millions de gens de par le monde s'y sont essayé... et se sont pris au jeu.

Le tour de force du Poker Texas Hold'em réside dans le fait qu'il soit parvenu à installer un équilibre parfait entre chance et savoir-faire. Un jeu simple avec deux cartes, et malgré tout du suspense et des revirements de situation en cours de partie dignes des meilleurs scénarios hollywoodiens. De quoi brasser large et plaire au plus grand nombre.

Sur un malentendu, un parfait imbécile peut même gagner un tournoi. Lors de grosses mises effectuées avec les mauvaises cartes en main, il lui reste entre 20% et 40% de gagner un coup. Le mauvais joueur qui ne sait pas placer ses mises peut s'en sortir pour peu qu'il ait un peu de chance aux moments cruciaux. Certes, sur le long terme, le mauvais joueur sera toujours perdant, mais sur une brève période, il peut se nourrir de l'illusion qu'il fait partie des bons joueurs, ou bien alors que les dieux du poker se sont posés sur son épaule et lui susurrent à l'oreille des conseils mystiques afin de remporter des pots improbables. Et puis lorsqu'il accumulera les contreperformances, il se dira qu'il va se refaire, puisqu'il a pourtant réussi à être un gagnant par le passé. Et cette sensation de victoire est tellement grisante... Puisqu'il la sent en permanence à portée de main, il va continuer à jouer. Bien au delà du raisonnable.

Le bon joueur, quant à lui, il lui suffit d'avoir les nerfs solides pour trouver son intérêt dans ce jeu, car les médiocres ne quittent pas le poker aussi vite qu'ils le devraient et que par ailleurs l'arrivage quotidien de joueurs frais et naïfs est important. Le bon joueur finira donc par y trouver son compte s'il ne perd ni sa foi ni sa confiance (ni sa bankroll) lorsque les coups du sort et les contre performances s'accumulent.

Toute la difficulté est là : savoir se situer n'est pas si facile. Du fait de la variance très forte induite par les règles du Texas Hold'em, un joueur aura toutes les difficultés du monde à jauger avec clarté son degré de compétence réel, ainsi que sa marge de progression.

A titre personnel, malgré mes milliards de jetons accumulés en partant de rien sur Pokerist (application disponible sur Android ainsi que via Facebook), j'ai longtemps douté de mon réel niveau. Les gens sont-ils mauvais parce que l'application est quasi gratuite et qu'il leur importe assez peu de perdre ou de gagner ? Est-ce que je gagne autant parce que les commissions prélevées sur Pokerist sont infimes comparées à celles des tables de poker en ligne payantes (10% de rake, en moyenne) ? Pokerist est il le royaume des Bisounours ?

Pendant ces six mois où je me suis adonné quotidiennement à Pokerist, je me suis souvent interrogé sur mon véritable niveau et sur mes capacités à me frotter à la concurrence dans des conditions moins confortables que celles proposées par une application avec des jetons virtuels. Et puis un jour, j'ai fait la connaissance sur Pokerist d'une joueuse américaine, Anabel. Le hasard des tables nous a fait nous affronter plusieurs jours d'affilée pour de longues séances. Et elle a commencé à s'extasier sur mon niveau de jeu, affirmant sur le chat que mes relances étaient toujours impeccablement dosées en fonction de la situation et des adversaires rencontrés. Tout flatteur vit aux dépends de celui qui l'écoute, et je me suis dans un premier temps méfié. Sur Pokerist, il y a pas mal de profils féminins aux photos aguicheuses et au verbe mielleux dont le dessein véritable consiste à attendrir les coeurs naïfs et leur soutirer des millions de jetons sans avoir à jouer, par le biais de donations et autres transferts de jetons. Mais rien de tel avec Anabel. Sa photo est "normale" et ses paroles m'ont paru sincères. Alors j'ai voulu en savoir plus sur les motivations de ses compliments altruistes. Et là, elle m'a raconté un bout de sa vie : elle a officié en tant que croupière pendant de nombreuses années à Atlantic City ainsi que dans pas mal de tripots du New Jersey. Et elle m'affirme que je suis l'un des rares vrais bons joueurs qu'elle ait rencontré sur Pokerist. Elle croyait d'ailleurs que j'étais un requin online de poker payant qui venait s'amuser sur cette application. Elle a été surprise de savoir que je débutais le poker depuis 3 mois à peine. Et m'a conseillé de me mettre au poker payant, m'affirmant que je ne serais pas déçu si d'aventure je décidais de m'y mettre. Ce sont ses paroles et ses encouragements répétés qui m'ont décidé à créer mon compte PMU et à m'essayer au poker payant. D'autant que cela faisait quelques temps que je commençais à ronronner sur Pokerist.

Mais entre le poker gratuit et le poker payant, il y a bien évidemment de nombreuses différences dans le style de jeu et le dosage de la prise de risque. C'est la raison pour laquelle je pratique pour l'instant à dose homéopathique : je considère que je suis dans la phase d'apprentissage. Pourtant, j'ai déjà des résultats assez corrects. Mais pour moi qui ne jure que par l'excellence et le haut-niveau, correct, cela veut dire mauvais. Ceci étant, puisque je me considère toujours en apprentissage, j'ai toujours une marge de progression. Et puis la chance met parfois du temps avant de pointer le bout de son nez. Si je veux aller à Vegas disputer les championnats du monde sans avoir à m'acquitter des frais d'inscription, je sais que le chemin sera long. Mais tant mieux : ce n'est pas une envie éphémère germée en mars pour fleurir en mai. Il me faudra probablement plusieurs années avant d'avoir réussi mon challenge. Je suis patient. Et le jour où j'y serai parvenu, mon mérite sera encore plus grand.


mercredi 13 mars 2013

Jouer à moindre coût

Pour celles et ceux qui souhaiteraient se consacrer au poker en ligne sans avoir à délier les cordons de la bourse, tout en ayant une chance de gagner de vrais sous, il existe une ou deux solutions.

Les différentes plateformes de poker proposent toutes des freeroll. Tout joueur de poker régulier ou occasionnel connaît le principe des freeroll. Ce sont des tournois gratuits avec à la clef quelques euros à gagner (ou à défaut une qualification directe pour un autre tournoi qui, lui, est rémunérateur). Disons le tout de suite, ce n'est pas un bon plan. Des centaines d'inscrits (voire des milliers), pour une cagnotte à se partager très mince. Les parties sont donc longues, et la récompense maigre. Les sites de poker en ligne ne sont pas des entreprises philantropiques, et distiller les freeroll de temps à autre est quelque chose de savamment calculé : verser quelques gouttes de sang dans la mer ne génère pas une hémorragie financière, mais par contre cela attire et excite les bébés requins. Un moyen simple et efficace pour attirer et fidéliser de nouveaux joueurs, en leur donnant le plaisir de gagner. Ne serait-ce que quelques poignées d'euros. C'est la promesse d'un festin futur. Et pour les losers qui perdent régulièrement, c'est un bon moyen de les maintenir captifs, car ils se disent que par ce biais-là ils peuvent se refaire lors des périodes de disette.

Mais pour qui souhaite se constituer une petite cagnotte (bankroll) à moindre frais, il existe un autre moyen, un peu plus intéressant, celui-là. Les tournois sponsorisés. Les plateformes de poker nouent ainsi ponctuellement des partenariats avec des clubs de poker, des sociétés commerciales, des sites de poker online, etc. Et ces tournois sont souvent intéressants dans la mesure où ils sont soit gratuits soit très limités au niveau du droit d'entrée, avec une cagnotte (pricepool) dont le montant total à répartir dépasse les frais d'inscription payés par l'ensemble des joueurs. Ces tournois subventionnés nécessitent un mot de passe. Mais il existe des sites qui recensent les mots de passe de ces divers tournois spéciaux. Citons au passage : "La clé des passes" ( http://lacledespass.forumgratuit.org/login ) et "Jouez et gagnez au poker" ( http://www.jouez-gagnez-au-poker.com/login?connexion=1 ). C'est assez peu élégant, comme procédé, car cela permet de resquiller un certain nombre de joueurs lors de ce type de tournoi. Mais il semblerait que personne ne se plaigne de cet état de fait.

Enfin, pour qui désire se faire des sous au poker sans avoir à dépenser le moindre centime, je ne peux pas passer sous silence un site d'un genre particulier : "Bank of Poker" ( http://www.bankofpoker.fr/web/frontend.php ). Le principe est le suivant : on joue au poker gratuitement avec des petites cagnottes de vrais sous à la clef. Quelques dizaines de centimes par partie. MAIS, il faut se farcir des spots de publicité. Avant et pendant la partie. Séduisante sur le papier, cette idée s'avère en pratique totalement indigeste pour le joueur, le coupant dans son immersion. Une vraie punition.

En alternant les divers sites en ligne proposant des freeroll et des tournois sponsorisés, un joueur peut donc tenter sa chance à moindre frais, avec l'espoir bien réel de gagner de vrais sous. Mais c'est long et fastidieux, dans tous les cas.

mardi 5 mars 2013

PSG Poker Ligue 2012-2013


Le chemin qui mène aux championnats du monde de poker Las Vegas est semé d'embûches. Pour y parvenir dans les années à venir, il va falloir non seulement s'accrocher, mais aussi se surpasser. Et y croire dur comme fer, sans se laisser démonter par les échecs.


psg-ligue-bannerEn ce moment, le PMU organise ça. Un championnat appelé PSG poker ligue, étalé sur 20 journées. Avec au final un chouette prix qui me rendrait heureux comme un gamin avec son premier jouet de Noël : un package pour aller disputer un tournoi en live à Las Vegas, le tout sous les couleurs officielles du PSG.

Donc en ce moment, je joue tous les lundi ce petit championnat sympathique. Le vainqueur de chaque session a droit à deux places en VIP pour le prochain match du PSG ou alors un maillot, en fonction des dates. Le hic, c'est qu'au moment où j'écris ces lignes, mes performances à ce tournoi sont vraiment médiocres. Pas moyen de sortir une performance qui me propulserait vers le haut du classement. Nous en sommes presque à mi-championnat, et je me morfonds dans le ventre mou du classement général. Je me fais régulièrement sortir par des kamikazes avec des mains marginales qui m'assèchent mon tapis. Frustrant.

Autant dire que les carottes sont déjà cuites avant même que la marmite ait fini de bouillir. Dommage. Mais je me dis que peu importe, car la conquête du poker ne se fait pas en un jour. Elle se mérite. Elle se construit dans la durée. Avec patience. Je ne gagnerai pas la PSG Poker Ligue 2013, à mon grand dam. Mais Las Vegas ne perd rien pour attendre, foi de Fredyl !