Ce samedi 30 novembre avait lieu le 14e opus du traditionnel Pokerthon organisé au théâtre de La Garenne-Colombes, événement pour lequel je m'étais inscrit cette année avec enthousiasme, afin d'organiser la sortie progressive de ma léthargie poker dans laquelle je végète depuis plus d'un an maintenant.
Las ! J'ai décidé de faire l'impasse sur l'événement à la dernière minute, lorsque j'ai constaté que ma gorge me grattait terriblement et que je commençais la journée en toussant fort. Mon expérience de la semaine passée à Montparnasse dans le cadre du
Wipt-Paris a amplement suffi à me dérouiller, nul besoin impérieux de
rejouer une semaine à peine après cette reprise du "live" dans des conditions où la souffrance l'aurait emporté à tous les coups sur le plaisir. Si l'on ajoute à cela le fait que ma ligne de train pour m'y rendre était fortement perturbée toute la journée, j'ai donc choisi de rester sagement au lit plutôt que d'aller disséminer mes microbes un peu partout en faisant circuler des jetons de poker. A l'instant où je rédige ces lignes, quatre jours après cet événement loupé, ma santé demeure vacillante, puisque je tousse encore à tout va.
Pas de sphinx courroucé veillant jalousement sur sa pile de jetons cette fois-ci contre 300 adversaires, puisqu'on me murmure dans l'oreillette que cette édition 2024 aura fait un carton en termes de participants. Mais il y aura prochainement pour moi d'autres occasions de briller. Et je reviendrai participer au Pokerthon en 2025. C'est une (quasi) certitude.
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