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lundi 29 décembre 2014

Victoire de prestige au Cocktail de Winamax !

J'adore ce blog. Je prends plaisir à voir certains événements s'enchaîner avec logique et cohérence, tels que je me les était figurés, à l'image d'un enfant de deux ans tenant dans ses mains maladroites deux pièces de Lego et dont le regard s'illumine lorsqu'il devine pour la première fois qu'elles vont s'emboîter parfaitement l'une dans l'autre au moment de les imbriquer. Mais pour convertir cette illumination en véritable émerveillement et en joie pure, encore faut-il que les mains ne tremblent pas de trop lors de la phase d'assemblage...

Une ligne prestigieuse à mon palmarès !
Il y a un mois, dans mon article du 25 novembre que l'on peut consulter ICI, j'évoquais le retour progressif de mes meilleures sensations (mon A-Game), et que dès lors je me sentais en mesure de décrocher une performance notable d'ici la fin de l'année. Voilà qui est chose faite, puisqu'en ce dimanche 28 décembre, je viens de remporter le tournoi Cocktail de Winamax, dont le droit d'entrée est de 5 Euros, devant pas moins de 3.414 adversaires. D'ordinaire, je ne joue jamais les tournois dont le coût est supérieur à 1 ou 2 Euros, mais il se trouve qu'en ce dernier dimanche de l'année, j'avais décidé de liquider les quelques tickets qui végétaient (comme trop souvent) sur mon compte Winamax. Et c'est ainsi que l'un de ces tickets s'est converti en un gain record de 2.774 Euros. 

Pour parvenir à terminer premier d'un tournoi réunissant la bagatelle de 3 415 participants, il faut une sacrée dose de réussite. Inutile de nier que j'ai eu un brin de chance pour parvenir jusqu'à la victoire finale, à l'instar de chaque vainqueur d'un tournoi aussi massif. Mais pour espérer y arriver, il faut également prendre tout un ensemble de bonne décisions les unes à la suite des autres (en priant pour que les bons choix effectués ne soient pas entravés par un moment de déconcentration fatale ou par un revers de fortune cinglant). Et le fait est que depuis quelques semaines, je m'en sentais de capable. Ce dimanche, j'ai donc fait une succession de bon choix à l'occasion de ce tournoi Cocktail.

Plus le temps passe, et plus je m'aperçois que les tournois de type short-hand (6 joueurs par table) me conviennent bien mieux que les tournois de type full-ring (9 ou 10 joueurs par table). Ma victoire dans ce tournoi, qui se joue à des tables de six joueurs avec une grosse profondeur en jetons renforce encore ce sentiment que j'ai d'être sensiblement meilleur aux tables moins fournies. De quoi nourrir quelques réflexions pour le futur. Car l'heure est à la réflexion plutôt qu'à la béate satisfaction.

S'agit-il là d'un simple fait d'armes isolé, ou bien d'un véritable déclic prélude à une marche triomphale ? Cette victoire symbolique mais importante m'amène à me questionner sérieusement sur ma stratégie de gagne-petit, adoptée tout au long de 2013 et poursuivie en 2014. Jusqu'à présent, prudence et humilité ont toujours guidé mes choix, de telle sorte que j'étais assuré de ne jamais perdre grand chose, à défaut de pouvoir remporter des sommes conséquentes. Mais sachant que je me suis prouvé à moi-même que j'étais capable de réelles performances, il est peut-être l'heure pour moi de passer à la vitesse supérieure en me consacrant à des tournois plus relevés... L'arrivée imminente de 2015 constitue donc peut-être l'occasion de redéfinir ma stratégie.

J'adore le poker. C'est un jeu qui se dispute avec deux cartes. Et à la fin, c'est Fredyl qui gagne ! 





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