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mercredi 22 janvier 2020

Dépoussiérage

Ces jours-ci, il ne se passe pas grand chose s'agissant de mes activités poker. Un peu de cash game pour me distraire une heure, et ma soif de jeu est aussitôt étanchée. Autant dire que c'est le calme plat et que je n'ai aucun idée du moment clef où la tendance s'inversera ! J'ai d'autres idées plans en perspective, mais cela ne doit pas me faire oublier que j'ai une conquête du poker à mener sur le long, voire le très long terme.

On dépoussière le trophée
Toutefois, je suis allé à la cave faire un peu de ménage, et à cette occasion, j'ai ressorti mon précieux trophée, le seul que j'aie gagné à ce jour en poker de tournoi : celui glané au Stade de France il y a trois ans et demi déjà. J'ai décidé de le sortir de son écrin et de le remettre bien en évidence, sur le bureau, afin qu'il soit-là, juste sous mes yeux lors de mes sessions poker nocturnes, histoire qu'il puisse me servir de totem et ainsi catalyser mes ondes positives lorsque je disputerai les coups clefs en fin de tournoi, les coups qu'il faut absolument gagner dans le money time pour pouvoir capitaliser les sous et la confiance qui va avec un deep run. Espérons à présent que ledit totem me permette de faire redémarrer la machine dans les prochaines semaines...

samedi 4 janvier 2020

2020 en mode touriste ?

2019 est terminé, et le moins que l'on puisse dire c'est que l'année aura été chiche en succès aux tables de poker, que ce soit en ligne ou en live. Certes, en clôturant l'année je constate un chiche bénéfice, mais pas de quoi pavoiser, et encore moins sortir le champagne. Mes bénéfices sont faméliques. Mon temps de jeu ces derniers mois est marginal, à tel point que j'en viens à me demander si le virus du poker n'est pas en train de progressivement me quitter. Car je ne ressens plus le besoin de jouer. L'envie, elle, demeure bien présente, mais elle est mise en concurrence avec d'autres activités nocturnes divertissantes et/ou reposantes : films et séries TV, matches de football, lecture, jeu vidéo ou bien encore tout simplement une nuit de sommeil complète (puisqu'il faut bien avouer que certaines sessions de poker le soir ont pour incidence lorsque cela se passe bien de se terminer tard dans la nuit). Car j'en viens à la constatation que le temps libre n'est pas extensible à l'infini ! Le temps passé à jouer au poker, c'est un temps que je ne consacre pas à une autre activité aussi intéressante et/ou divertissante.

J'en viens donc à me poser la question suivante : et si je la jouais en mode touriste en cette année 2020 ? J'hésite sur la marche à suivre... non pas que j'aie envie de délaisser ce jeu, mais il est temps pour moi de l'aborder dépourvu de toute forme de pression au niveau du volume effectif de jeu. Ainsi, pour commencer, un petit break de quelques semaines en cette fin d'hiver ne sera pas de refus, afin de mieux rebondir ensuite au printemps... ou pas. La suite, on verra.