Grâce à ma performance lors du tournoi spécial PSG-OM organisé par Winamax il y a quelques jours, j'ai pu aller assister gratuitement au match du championnat qui a vu le PSG s'imposer ce dimanche 25 février par le score sans appel de 3-0.
Un petit contretemps au guichet "invitations" pour le retrait de mes deux places que l'hôtesse ne parvenait pas à retrouver a fait que je ne suis parvenu dans l'enceinte du stade qu'à 20h40 alors que les équipes finissaient l'échauffement et rentraient au vestiaire avant de revenir de nouveau une vingtaine de minutes plus tard pour y disputer ce match à fort enjeu émotionnel. Malgré un air glacial venu tout droit de Sibérie, l'ambiance était bouillante dans le stade. Car un PSG-OM est toujours un match à part, quel que soit le différentiel de niveau et/ou de classement entre les deux équipes.
Ambiance des grands soirs au Parc des Princes |
Sangoku brille... mais il va bientôt brûler ! |
Les places n'étaient pas trop mal situées, ce qui m'a permis d'admirer le tifo DragonBall-Z concocté par les ultras parisiens de la tribune Auteuil. Ces derniers ont d'ailleurs accidentellement brûlé le Sangoku géant quelques minutes plus tard, après le premier but parisien, suite à un lancer de fumigène malencontreux. Cet incident augurait de nuages noirs à l'horizon, mais sur le moment personne n'a prêté attention à ce présage funeste. Car en ouvrant le score dès la dixième minute, Mbappé a électrisé le stade. Et c'est allé crescendo, quand bien même ce soit un match jalonné de fautes - parfois vilaines - des deux côtés. C'est presque un miracle que la pluie de cartons jaunes distribués n'ait débouché sur aucune expulsion, mais il y a quand même eu de la casse, certains joueurs ayant senti les coups passer à leur corps défendant. Tout allait bien pour Paris et pour le public... du moins jusqu'à la blessure de Neymar à la 78e minute. Enorme coup dur en vue du match crucial de Ligue des Champions dans quelques jours contre le Real Madrid. Mais ainsi va la vie d'un club de football engagé dans une compétition relevée : il faut savoir faire fi de l'aléa lorsqu'on ambitionne d'atteindre le top, un peu comme au poker lorsqu'on se fait cruellement déchiqueter sa paire d'as sur un tapis préflop. On verra donc très prochainement si Paris a de la ressource mentale.
Merci Winamax ! |
En attendant, celui qui a de la ressource et de la veine, c'est bien moi : le poker me fait toujours autant vibrer, grâce à sa capacité à me propulser virtuellement n'importe où, n'importe quand. Cette fois-ci, c'était au Parc des Princes. En attendant la prochaine fois. Là-bas. Ou ailleurs. Car il y aura forcément une prochaine fois. La rivalité entre Paris est Marseille n'est pas prête de s'éteindre. Le feu de ma passion pour le poker non plus. Car comme le dit si bien l'ex marseillais Patrice Evra (licencié en cours de saison) : I Love This Game.
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