Dans deux heures, je serai au Cercle Clichy Montmartre afin de disputer la finale du Wipt grâce à ma qualification obtenue via le Club Poker à la fin de l'été. 550 euros de droit d'entrée. 1 600 inscrits. Et la bagatelle de 100 000 euros promis au vainqueur.
Cela fait maintenant plus d'un an que je n'ai pas disputé de tournoi live d'envergure. Le Wipt, c'est un véritable marathon, on a le temps de déployer son jeu sereinement, tout comme on a le temps de ronger son frein - voire de s'endormir - en cas d'absence prolongée de jeu.
Depuis une semaine, j'ai allégé mon volume ainsi que mon temps de jeu en ligne, histoire de venir à cette finale avec quelques réserves en matière d'influx nerveux. Oui mais voilà, je me sens fébrile, à l'instant où je rédige ces lignes. Je dois couver un quelconque virus, car outre un petit mal de gorge, un mal de crâne lancinant s'est installé en fin de matinée, et ne s'est toujours pas totalement estompé.
Alors en cette première journée de compétition, ce jeudi soir, je vais y aller piano. Pas de sombrero péruvien, pas de T-Shirt fredyl fièrement arboré, pas d'humeur badine. On va y aller en mode économie d'énergie, tout en sobriété. Juste équipé du Sphinx de base. Et on avisera en cas de qualification pour la seconde journée de compétition qui aura lieu samedi, le cas échéant. Un marathon, c'est long...
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