Le chemin qui mène aux championnats du monde de poker Las Vegas est semé d'embûches. Pour y parvenir dans les années à venir, il va falloir non seulement s'accrocher, mais aussi se surpasser. Et y croire dur comme fer, sans se laisser démonter par les échecs.
Donc en ce moment, je joue tous les lundi ce petit championnat sympathique. Le vainqueur de chaque session a droit à deux places en VIP pour le prochain match du PSG ou alors un maillot, en fonction des dates. Le hic, c'est qu'au moment où j'écris ces lignes, mes performances à ce tournoi sont vraiment médiocres. Pas moyen de sortir une performance qui me propulserait vers le haut du classement. Nous en sommes presque à mi-championnat, et je me morfonds dans le ventre mou du classement général. Je me fais régulièrement sortir par des kamikazes avec des mains marginales qui m'assèchent mon tapis. Frustrant.
Autant dire que les carottes sont déjà cuites avant même que la marmite
ait fini de bouillir. Dommage. Mais je me dis que peu importe, car la
conquête du poker ne se fait pas en un jour. Elle se mérite. Elle se
construit dans la durée. Avec patience. Je ne gagnerai pas la PSG Poker Ligue 2013, à mon grand dam. Mais Las Vegas ne perd rien pour attendre, foi de Fredyl !
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